lundi 28 novembre 2011

La Bibliothèque Justin Lherisson a reçu la chanteuse Renette Désir.

Le dimanche 27 novembre, la Bibliothèque Justin Lherisson a reçu la chanteuse Renette Désir dans le cadre de la deuxième soirée de collecte de livres pour le renforcement  de la section féministe et féminine de la BJL, créée et animée par l’association féministe D’ELLES. Le public était très satisfait de la prestation de l’artiste qui était accompagnée par deux talentueux musiciens, un tambourineur et un guitariste. Les diseurs de l’atelier création Marcel Gilbert ont également profité de ce podium pour charmer l’assistance avec des textes qui sont souvent  le fruit de leur création.





lundi 21 novembre 2011

AKI FAM nan BJL

Jou ki te samdi 19 novanm nan BJL te resevwa  gwoup AKI FAM (Aksyon Kiltirèl Fanm),se yon gwoup fanm ki deside jwe rara,yon jan mizik ki te sanble pwopriyete gason avan,se kòm si fanm  pat ka jwe rara,yo te sèlman la pou danse, chante,epi souvan anpil chan rara yo te konn ap voye pawòl piman bouk sou fanm  .Rara a gen 16 fanm,se yo ki jwe tout enstriman yo,soti nan tanbou,pase nan banbou,kòne,klòch,tchatcha elatriye. Medam yo te montre yo metrize tout enstriman yo,san konplèks vaksin te marye,patisipan yo tap yaya kò yo. Animasyon kiltirèl sa yo se yon mwayen poun valorize kilti nou e pwopoze jèn yo aktivite ki makònen ak kilti yo. Piblik la te soti satisfè apre espektak la.










samedi 19 novembre 2011

Conference du professeur Eddy Lucien a la BJL








Le vendredi 18 novembre 2011, la Bibliothèque Justin Lherisson a reçu ,le professeur Eddy Lucien docteur en histoire  dans une conférence sur le thème « L’Armée et la souveraineté nationale ». Le professeur a fait l’historique de l’armée d’Haïti en mettant l’accent sur trois grands moments : La période révolutionnaire ou l’armée indigène s’était engagée dans une véritable bataille pour mettre fin au système esclavagiste  et garantir l’indépendance d’Haïti, sa devise a été : « Liberté ou la mort » et selon le professeur Lucien, c’est  seulement a ce moment précis de l’histoire que l’armée d’Haïti avait  remplit réellement sa fonction de défense nationale, c’est une armée qui se forme dans la lutte même .
                Le deuxième moment commence avec la mort du général   Jean Jacques Dessalines, c’est ce que le professeur appelle le début de la fin, on va assister a toute une série de mouvements (Goman, Acaau etc.), l’armée est donc devenue une force attachée à la cause des classes dominantes.
L’occupation de 1915 a mis fin à ce que certains historiens appellent le règne des baillonnettes, l’armée d’occupation est donc forgée à partir des modalités americaines.Le professeur a relevé plusieurs contradictions entre la structure et les attributions de cette force, qui était baptisée gendarmerie, elle ne remplissait que des taches de maintient d’ordre. C’était une force qui harcelait les masses résistant contre l’occupation, la mort de Charlemagne Peralte, le massacre des paysans de Marchaterre en 1929 sont des exemples clairs.
Apres le départ des forces d’occupation, cette force a changé de nom en plusieurs occasions mais c’était la même structure avec les mêmes missions. Elle ne réplique pas au massacre des haïtiens en 1937 en republique dominicaine  , elle reste sous le contrôle et l’assistance americaine, elle ne joue que le rôle de sécurité interne, elle est réduit seulement à des forces terrestres, elle se confond avec le pouvoir exécutif de 1950 à 1994, c’est une force privée au service du président.
Apres l’exposé du professeur Lucien, les participants alimentaient le débat avec des questions, des ajouts, des éclaircissements etc. la majorité des participants ont voulu remmener le débat au contexte actuel ou les hauts dirigeants de l’état affirment leur volonté de remettre sur pied les Formes Armées d’Haïti dissoutes en 1994 par un décret du président d’alors, Mr Jean Bertrand Aristide. De l’avis du professeur Lucien, dans le contexte actuel ou des milliers de compatriotes vivent encore sous des tentes presque 2 ans après le séisme du 12 janvier, sur le plan économique et sociale les problèmes se font sentir, la remobilisation de l’armée est loin d’être la priorité de l’heure.
Cette conférence a fourni aux participants des outils d’analyses qui peuvent leur permettre de mieux appréhender la problématique de la reconstitution de l’armée.









jeudi 17 novembre 2011

PROGRAMME DE LA BLIOTHEQUE JUSTIN LHERISSON

PROGRAMME DE LA BLIOTHEQUE JUSTIN LHERISSON

Vendredi 18 novembre 2 h pm : Conférence-débat : « L’armée et la souveraineté  nationale ». Conférencier Prof. Eddy Lucien
Samedi 19 novembre 5 h pm : Animation culturelle, la BJL  reçoit AKI FANM, RARA FANM.
Dimanche 27 novembre 4 h pm : Soirée de collecte de livre pour la section D’ELLES Féministes. Animation-déclamations-chants etc. 
Vendredi 9 décembre 5 h pm : La BJL reçoit l’Atelier Toto B avec la pièce : Ayiti Pawol Lapli ak Lakansyel.
Samedi 17 décembre 2 h pm : Conférence-débat : «  kanpay pou kaba vyolans sou fanm nan sosyete nou an. » Conférencière Olga Benoit dirigeante de la SOFA. 

lundi 14 novembre 2011

Konferans deba nan BJL



Jou kit e lende 7 oktob la Bibliothèque Justin Lherisson te resevwa madan Clorinde Zephir dirijan Enfo fanm nan yon konferans deba ke l te prezante pou jèn ki gen abitid frekante BJL.li te pale de eksperyans diktati bout di Duvalier yo, nan kad batay pou fanm yo te ka jwen wòl yon an sosyete a. Nap fè remake ke altivite sa a sete inisyativ D’ELLES Feministes yon òganizasyon fanm ki tabli baz li nan Bibliothèque Justin Lherisson.